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U16 - U15 et U14 R1 - U13 - Séniors R1


hermann
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Très déçu par Elliot d'habitude c'est lui qui nous annonce en premier les signatures de jeunes joueurs. D'ailleurs ne voyant rien venir le club c'est senti obligé d'écrire une brève :P

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Le ou les jeunes U15 qui jouent attaquant de pointe cette année doivent donc connaître leur sort... Après, c est clairement un poste où le club est en déficit chez les jeunes de mon point de vue. Il est donc logique qu'il soit recruté. Venir d un pôle espoir est gage de potentiel certain normalement. 

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Il y a 21 heures, hermann a dit :

Très déçu par Elliot d'habitude c'est lui qui nous annonce en premier les signatures de jeunes joueurs. D'ailleurs ne voyant rien venir le club c'est senti obligé d'écrire une brève :P

Je suis aussi déçu par moi même, j'ai traîné pour poster la nouvelle et puis voilà je me fais devancer 😄

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https://www.clermontfoot.com/saga-coach-episode-1/

Cette longue période sans matchs officiels de l’association Clermont Foot 63 nous amène à vous présenter les entraîneurs et éducateurs des équipes masculines et féminines à partir des U13. Au nombre total de seize (11 sur la section masculine et 5 sur la section féminine, ces 14 hommes et 2 femmes sont mis en avant par ordre d’ancienneté au club dans leur fonction de responsable d’équipe.

Découvrez ci-dessous l’épisode numéro 1 avec la présentation de Jérôme FOURNIER, en charge des U12 cette saison, éducateur le plus fidèle au club puisqu’il intervient depuis 1995 !

Portrait de Jérôme FOURNIER (U12)

Ancienneté au club en tant que responsable d’équipe : 25 saisons depuis 1995-1996 sans interruption
Equipes encadrées : Débutants, Poussins, Benjamin, 14 ans nationaux, 12 ans challenge, U13, U15, U14, U12.
Meilleur souvenir en tant qu’éducateur : En 14 ans Fédéraux. Après une défaite contre Grenoble en ouverture de championnat, nous avons enchainé 7 victoires consécutives, avant d’aller affronter l’OM avec l’étiquette de leader du championnat. Après cette victoire 1-0 à Marseille, 8 recruteurs m’ont sollicité à la fin du match pour me citer l’ensemble des joueurs qui composaient l’équipe. Un vrai défilé.
Diplôme : Brevet d’Educateur de Football
Profession : Conseiller principal d’éducation et chargé de mission auprès du Recteur

Meilleur niveau de joueur : Junior régional 1 au Clermont Football Club
Meilleur souvenir en tant que joueur : En minimes, à Aurillac! Le score était de 0-0 à la mi-temps et le thermomètre frisait les 0 degrés. Discours du coach musclé, découverte du sucre recouvert du ricqlès et crémage à la pommade St Bernard! Le problème, c’est que certains coéquipiers n’aurait pas dû aller aux toilettes juste après. Certaines parties du corps sont restées chaudes trop longtemps. Mais nous avons gagné 1-0, cela a eu son effet!

Cite un joueur préféré par ligne : Manuel NUEUR, Paolo MALDINI, Andres INIESTA, PELE
Une équipe dans une période donnée : Le barça de GUARDIOLA
Un sportif hors foot : Kévin MAYER
Une personnalité qui t’inspire : Hartmut ROSA
Des coachs source d’inspiration : Pep GUARDIOLA, Christian GOURCUFF, Jean-Claude SUAUDEAU, Lucien FAVRE
Ton championnat préféré : Bundesliga (Allemagne)

Citation ou proverbe :  “Le football est simple mais il est difficile de jouer simple.” Johan CRUYFF
Trois qualités essentielles pour un éducateur :  Entraînant, Réfléchi, Humilité
Meilleur souvenir au stade Gabriel MONTPIED :  Coupe de France contre le PSG en 1997
Ton rituel d’avant match :  Organiser le vestiaire et nettoyer le tableau blanc
Chose la plus drôle entendue sur un terrain :
Avec 2 joueurs s’appelant Mathieu Jacob et Dombaxi Rabi, l’association sur le coté gauche de l’équipe, me faisait souvent dire à ces 2 joueurs de se replacer en phase défensive … je vous laisse donc trouver l’association de leurs deux prénoms, ce que cela peut donner…
Un souhait pour cette fin de saison : Retrouver une vie sportive normale avec les jeunes!

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Si, à ce jour, aucune étude scientifique ne prouve le lien entre le jeu de tête et des maladies neurodégénératives constatées sur un grand nombre d'anciens footballeurs, certains arguments incitent à une plus grande vigilance.

Christine Thomas15 mars 2021 à 17h30
 
 

« Aujourd'hui, je me dis qu'en ayant entraîné des joueurs pendant de nombreuses années, j'ai fait des dégâts à l'entraînement. Quand je repense à toutes les séances de jeu de tête mises en place... Il semble aujourd'hui pertinent de prendre des mesures. » Cette réflexion d'Arsène Wenger, ancien manager d'Arsenal devenu directeur du développement mondial à la FIFA, relayée le 3 mars par le Parisien, résume parfaitement la prise de conscience du milieu sur la possible dangerosité, à terme, du jeu de tête pour les footballeurs.
 

« Nous sommes dans le flou quant à certains traumatismes cérébraux, poursuit l'ancien coach des Gunners. Il faut limiter petit à petit le temps consacré au jeu de tête à l'entraînement. Et l'interdire chez les jeunes. Chez les adultes, je ne sais pas... Mais nous devons être très, très vigilants aux conséquences des têtes sur les traumatismes, sur la suite... Il faudra réfléchir à des règles claires sur l'encadrement du jeu de tête. »

Le fait qu'Arsène Wenger ait évolué plus de vingt ans outre-Manche n'est certainement pas étranger à sa réflexion de fond, sachant que, jusqu'ici en Europe, seules les Fédérations écossaise, irlandaise et anglaise ont officiellement interdit (début 2020) le jeu de tête pendant l'entraînement des moins de 12 ans. Si la Fédération américaine de football reste la toute première à avoir décidé, dès 2015, d'interdire le jeu de tête aux moins de 10 ans et de le réglementer jusqu'à 13 ans, le déclencheur européen a été une étude écossaise publiée en novembre 2019 évoquant un lien direct entre la pratique du football et les risques pour la santé mentale des joueurs (*) : selon cette dernière, si les anciens footballeurs vivent plus longtemps que le reste de la population, ils ont aussi 3,5 fois plus de chances de souffrir de maladies neurodégénératives, le risque de développer la maladie d'Alzheimer étant même cinq fois plus élevé.

(*) Les chercheurs ont comparé 7 676 joueurs professionnels écossais nés avant 1977 à un panel de 23 028 personnes nées avant 1977.

Face à ce constat, les chercheurs de l'université de Glasgow émettent l'hypothèse que des commotions cérébrales répétées seraient à l'origine des risques accrus de démence, et évoquent leurs soupçons quant à la répétition des impacts tête-ballon. Sauf que, à ce jour, aucune étude au monde ne prouve véritablement que le jeu de tête provoque ces pathologies graves : « Les fédérations qui ont mis en place l'interdiction du jeu de tête lors de l'entraînement des moins de 12 ans l'ont fait uniquement par principe de précaution, explique le docteur Emmanuel Orhant, directeur médical de la FFF et membre du groupe de recherche de l'UEFA. Car à ce jour, autant nous sommes tous convaincus à 100 % que les commotions cérébrales sont à l'origine de troubles neurodégénératifs à moyen ou long terme dans le football et d'autres sports peu cités, comme le basket et le judo, autant aucune étude scientifique ne prouve le lien entre le jeu de tête et les conséquences neurodégénératives. Pour autant, on multiplie les études car il ne faut surtout pas sous-estimer le risque. »

« Il est légitime de se demander si, au long cours, ces petites perturbations répétées sont bénignes ou pas »

Jean-François Chermann, neurologue

 
 
 

Voilà pourquoi l'International Football Association Board (IFAB, l'instance qui détermine les règles du jeu du football) n'interdit pas officiellement le jeu de tête pour l'instant. Mais, face aux doutes légitimes et au nécessaire principe de précaution, l'UEFA a émis en juin 2020 plusieurs recommandations concernant le jeu de tête chez les juniors, tout en laissant à chaque fédération son libre choix. Et côté précautions et recherches, la FFF n'est pas en reste.

Les recommandations de l'UEFA
Alors que les avis divergent d'un pays à l'autre, l'UEFA (qui a lancé en 2018 un projet de recherche dans les équipes juniors), a émis en juin 2020 des recommandations portant sur la gestion du jeu de tête lors des entraînements et des matches des juniors :
- utiliser un ballon d'une taille et d'un poids appropriés à la catégorie d'âge des joueurs à entraîner. Pour les entraînements et les matches, gonfler le ballon à la pression la plus basse autorisée par les lois du jeu. Pour les premiers exercices de jeu de tête, des ballons en mousse constituent une alternative intéressante.
- réduire les exercices de jeu de tête au minimum pendant les entraînements et les matches chez les jeunes joueurs en introduisant des modifications des règles telles que la réduction de la taille du terrain, du nombre de joueurs, de la hauteur des buts, etc. Les entraîneurs devraient être formés sur la nécessité d'avancer par étapes dans les exercices de jeu de tête au sein des différentes catégories d'âge.
- l'apprentissage de techniques pour travailler le renforcement de la nuque devrait faire partie de la formation des entraîneurs et être inclus à terme dans les directives relatives au jeu de tête.
- si, à la suite d'exercices de jeu de tête, un joueur rapporte qu'il souffre notamment d'étourdissements, de maux de tête ou de vertiges, il devrait être mis au repos pendant une semaine au minimum et être suivi par un médecin.

« Il n'y a quasiment jamais de commotion cérébrale quand un joueur fait une tête de manière délibérée, affirme Jean-François Chermann, neurologue spécialiste des commotions chez les sportifs. Mais quand on sait qu'un footballeur fait à peu près 2 000 têtes par an, s'il joue pendant dix ans il en fera 20 000 dans sa carrière, sans compter celles réalisées quand il était enfant... C'est un chiffre monstrueux. On sait aussi que, juste après avoir fait une tête, un joueur peut être un peu sonné pendant quelques secondes, se sentir un peu bizarre ou même voir des étoiles. Il est légitime de se demander si, au long cours, ces petites perturbations répétées, bien qu'extrêmement transitoires, sont bénignes ou pas. On n'en sait rien. »

Vers une limitation du nombre de têtes à l'entraînement chez les pros en Angleterre

En raison des probables sous-commotions et mini-traumatismes provoqués par ces impacts à répétition, la Fédération anglaise s'apprête d'ailleurs à militer pour imposer une limitation du jeu de tête à l'entraînement au sein des équipes professionnelles, ce qui serait une première mondiale. « Ce serait une bonne idée, estime Jean-François Chermann, qui est aussi expert auprès de la commission médicale de la FFF pour les commotions. C'est un principe de précaution car je pense que moins vous prenez de coups sur la tête, mieux c'est. »

 

Et d'autant plus chez les tout jeunes... « En juin dernier, avec Emmanuel Orhant, on a préconisé auprès de la FFF de ne pas faire faire de têtes aux moins de 12 ans lors des entraînements et d'utiliser des ballons en mousse, poursuit le neurologue. Et dès qu'on aura davantage de données, on décidera si, oui ou non, il faut interdire les têtes à tel ou tel âge. »

Des études et recherches menées en France

Les données, parlons-en. Si, jusqu'ici, aucune étude étrangère n'a donc prouvé la dangerosité du jeu de tête pour la santé des footballeurs, la France creuse le sujet de son côté. D'une part grâce à une longue étude scientifique (en voie de validation auprès de Santé publique France) menée par Emmanuel Orhant sur les causes de mortalité chez les footballeurs professionnels (*). D'autre part via une enquête en cours sur l'analyse du jeu de tête réalisée par la DTN auprès des clubs, en lien avec la commission médicale de la FFF.

(*) L'étude est basée sur les joueurs de foot de Première et Deuxième Divisions décédés depuis 1950.

Mais c'est à Bordeaux que sont menées depuis cinq ans les recherches les plus poussées sur le sujet. Deux spécialistes de médecine physique et de réadaptation au CHU de Bordeaux, le professeur Patrick Dehail et le docteur Hélène Cassoudesalle, également doctorante en sciences cognitives à l'université de Bordeaux, ont en effet réalisé une étude inédite dans le but de quantifier et de caractériser tous les types d'impacts crâniens (impacts tête-ballon intentionnels et involontaires) auxquels peuvent être soumis des footballeurs durant l'ensemble des matches joués sur une saison entière.

« Nous avons suivi pendant une saison cinquante-quatre footballeurs issus de deux équipes masculines bordelaises (Girondins de Bordeaux et Stade Bordelais), âgés de 16 à 35 ans, participant au même Championnat CFA2(aujourd'hui National 3), avec analyse des enregistrements vidéo des matches,explique Hélène Cassoudesalle. Tous les impacts crâniens ont été analysés à vitesse réelle et au ralenti. Anodins en apparence, les impacts tête-ballon, même volontaires, sont à très haute énergie cinétique (pouvant aller jusqu'à 120 km/h). La question était notamment de savoir si ces impacts répétés pouvaient, même sans symptômes immédiats apparents, entraîner un retentissement sur le cerveau à long terme. »

« On retrouve des modifications similaires après une commotion cérébrale, alors que ces joueurs-là n'en ont eu aucune »

Hélène Cassoudesalle, doctorante en sciences cognitives à l'université de Bordeaux

 
 
 

Pour cela, les chercheurs ont fait passer à une dizaine de ces joueurs une IRM de haute résolution en début et en fin de saison et l'ont comparée à celle réalisée sur des sportifs du même âge non exposés à des traumatismes crâniens répétés. Résultat : l'IRM fonctionnelle a montré en fin de saison une hyperactivation de certaines zones du cerveau chez les footballeurs. « Plus ils étaient exposés au nombre de têtes (surtout les défenseurs centraux et les attaquants), plus ces régions du cerveau étaient activées, contrairement aux autres sportifs, raconte la doctorante. Il y a plusieurs interprétations possibles à ça, mais ce qui est intéressant, c'est qu'on retrouve des modifications similaires après une commotion cérébrale, alors que ces joueurs-là n'en ont eu aucune. »On ne sait néanmoins pas encore si ces modifications subtiles peuvent être réversibles avec le temps, ni si elles peuvent être la résultante d'un mécanisme de compensation ou d'inflammation du cerveau.

« À ce stade, il n'y a donc rien d'avéré sur l'impact négatif du jeu de tête sur le cerveau, conclut Cassoudesalle. Mais il y a un faisceau d'arguments qui nous indique juste qu'il faut continuer d'explorer ce sujet sur le long terme, avec un suivi sur plusieurs années. » Et, en attendant, épargner les têtes blondes, muscler les cous des ados et suivre de près les pros qui auraient trop souvent la tête dans les étoiles.

« D'autres solutions que l'interdiction »
Entraîneur du Stade Bordelais depuis 2016, Alexandre Torres est préoccupé par les chocs crâniens depuis que l'un de ses joueurs a subi deux K.-O. consécutifs. En 2017, il avait accepté de mettre ses joueurs à disposition des chercheurs du CHU de Bordeaux dans le cadre de l'étude inédite sur les conséquences des impacts (dont les impacts tête-ballon intentionnels) sur leur cerveau.
« Pensez-vous, comme Arsène Wenger, qu'il faudrait interdire le jeu de tête chez les jeunes ?
C'est sûr qu'il y a des questions à se poser. Mais pour moi, il y a d'autres solutions que l'interdiction. Ce serait dommage de ne plus en faire du tout, sachant que l'âge d'or des acquisitions motrices se situe entre 6 et 12 ans. Si on leur apprenait plutôt à bien pratiquer le jeu de tête dès cet âge, peut-être qu'ils auraient moins de risque de développer des pathologies plus tard.
Vous préconisez, comme l'UEFA, un meilleur apprentissage de la technique chez les juniors ?
Oui, c'est très important. Le bon jeu de tête s'effectue avec le front. Lors des duels aériens, quand on prend un ballon sur le haut du crâne, ou bien à l'arrière du crâne, voire sur la tempe, c'est plus douloureux. On peut se sentir sonné. Le problème, c'est que lorsque le joueur avait encore le droit de sauter en s'aidant de ses bras, cela lui permettait de mieux s'équilibrer en l'air, d'avoir un meilleur timing et de prendre le ballon avec une meilleure surface de contact.
L'UEFA préconise aussi d'utiliser des ballons plus légers...
Oui par exemple. On peut aussi utiliser d'autres artifices à l'entraînement : il y a une cinquantaine d'années, mon papa apprenait la technique du jeu de tête grâce à un ballon immobile suspendu à une potence (réduisant ainsi l'intensité de l'impact). » C. T.
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  • 2 weeks later...

https://www.clermontfoot.com/triple-opposition-contre-lom-pour-le-centre-de-formation/
 

U16 CONTRE U16 DE L’OM (DÉFAITE 2-0)

Pour cette rencontre, la moitié de l’équipe clermontoise était composée de U15.

Composition d’équipe du Clermont Foot 63:

RAMOUSSE Théo (45e DA SILVA Jordan) – COULIBALY Ibrahim, LE BOULAIRE Mattéo, MAZEYRAT Gabin, DELHI Yacine (45e DA COSTA Manuel), HAFIANE Ishak (45e LULENDO Besael), COHADE Mathis, ASTIC Julien (45e MOURTON Pierrot), SELLAMI Camil (45e BOUKOULOU Alexandre), OLLIER Corentin, jeune joueur à l’essai.

Réaction de l’entraîneur Emmanuel DESGEORGES:

“L’entame de match a été très difficile jusqu’à la 25e minute avant d’enfin réagir et de se créer des situations sur centre qui auraient mérité meilleur sort. La seconde période a aussi été compliquée dès le départ avec le second but marseillais. Nous sommes restés sans solutions pour pouvoir rivaliser face à cette belle équipe de Marseille.”

 

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il y a 21 minutes, Malochet a dit :

Les u15 étaient Pierrot Mourton, Besael Lulendo, Alexandre Boukoulou, Yacine Delhi, Manuel Da Costa, Camil Sellami. 

Sûrement des essais pour finaliser les décisions pour le centre de formation. 

Pierrot Mourton joue en 10 habituellement en U15

Bessael Lulendo j'imagine que c'est Adolphe Lulendo Mawete ? qui joue en 6/8

Alexandre Boukoulou joue en 9

Yacine Dehli 3/5

Manuel Da Costa Santinha 4/5

Camil Sellami 7 il a déjà fait un match amical avec les U17

Concernant les recrues pour les U16 de la saison prochaine (2006) on a eu connaissance de 3 pour le moment.

Matthew Davis (FC Montfermeil) 7

El Hadj Kone (FC Fleury 91) 8

Amine Bouchena (FC Istres) 10

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https://www.clermontfoot.com/saga-coachs-episode-3/
 

Cette longue période sans matchs officiels de l’association Clermont Foot 63 nous amène à vous présenter les entraîneurs et éducateurs des équipes masculines et féminines à partir des U13. Au nombre total de seize (11 sur la section masculine et 5 sur la section féminine), ces 14 hommes et 2 femmes sont mis en avant par ordre d’ancienneté au club dans leur fonction de responsable d’équipe.

Découvrez ci-dessous l’épisode numéro 3 avec la présentation de Christophe CHASTANG, de retour au club après quelques saisons d’arrêt.
Désormais éducateur du groupe U16 hors centre de formation, il entraîne 4 fois par semaine son équipe composée à majorité de joueurs engagés dans le dispositif “Cité de tous les talents”.

PORTRAIT DE CHRISTOPHE CHASTANG (U16 HORS CENTRE)

Ancienneté au club en tant que responsable d’équipe : 11 saisons (2005-2014) puis 2020-2021
Equipes encadrées : Séniors C, U19 national, U16 R1
Meilleurs souvenirs en tant qu’éducateur :  Le championnat U19 national et la participation en coupe Gambardella. Encadrer les sélections régionales U15 jusqu’au rassemblement nationales à Clairefontaine.
Meilleur niveau de joueur : Ligue 2, 150 buts avec le Clermont Foot 63 durant les montées successives de 1992 à 2004 
Diplôme : DES (Diplôme d’Etat Supérieur mention football)

Profession : Coordonnateur EPS – Direction des sports – Mairie de Clermont
Autre parcours d’éducateur : Thiers (2015-2016, CFA 2), Groupe compétition étudiants SIUAPS Clermont (2017-2020)

Meilleurs souvenirs en tant que joueur : La Victoires contre le PSG en coupe de France bien sûr. Mais aussi celle à Toulouse pour la montée en L2. Enfin les 3 participations aux championnats d’Europe avec l’équipe de France Finances avec le titre en Hongrie (Budapest 1996)

Cite un joueur préféré par ligne : Manuel NEUER, MARQUINHOS, VERRATI, PAULETA
Une équipe dans une période donnée : Le Barça de GUARDIOLA
Un sportif hors foot : Tony PARKER
Une personnalité qui t’inspire : Le couple OBAMA
Des coachs source d’inspiration : Pep GUARDIOLA, Jürgen KLOPP, José MOURINHO, Lucien FAVRE, Pascal GASTIEN
Ton championnat préféré : Tous les grands championnats Européens

Citation ou proverbe : « Seul on va vite, ensemble on va plus loin » et  « Le travail est la seule chose que l’on ne regrette jamais »
Trois qualités essentielles pour un éducateur : Passion, exigence, rigueur
Meilleur souvenir au stade Gabriel MONTPIED :  La victoire contre le PSG en coupe de France 1997
Ton rituel d’avant match : Préparer et anticiper le prévu et le prévisible pour être meilleur et plus lucide pour gérer l’imprévisible et l’imprévu
Un souhait pour cette fin de saison : La reprise des compétitions et la montée en L1 pour le groupe professionnel

 

 

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Il y a 2 heures, elliot a dit :

 

Merci Elliot pour cette info :thumbup:

Cest un 2006 qui joue numéro 11 https://www.lejsl.com/sport/2021/03/27/un-jeune-espoir-du-fc-montceau-signe-a-clermont

Un jeune espoir du FC Montceau signe à Clermont

Grace Espoir Lalaye, jeune joueur du FCMB âgé de 14 ans, va rejoindre le centre de formation de Clermont, club actuellement 2e de Ligue 2, à partir de la saison 2021-22.

Il porte plutôt bien son nom. Grace Espoir Lalaye, jeune joueur U15 du FC Montceau, a en effet concrétisé les espoirs placés en lui. Milieu offensif gaucher issu de la génération 2006, il a tapé dans l’œil des formateurs du Clermont Foot 63 et rejoindra leur centre de formation à compter de la saison prochaine.

Trois ans au centre de formation

Licencié au FCMB depuis l’âge de 7 ans et membre du pôle Espoirs régional de Dijon depuis maintenant deux ans, le jeune Montcellien portera les couleurs clermontoises pour les trois prochaines années.

 

title-1616851412.jpg

Modifié par hermann
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  • hermann changed the title to U16 - U15 et U14 R1 - U13 - Séniors R1

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